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Référence : 6761

Recherche de foncier pour culture et transformation de Ppam (2 ha environ)

Publié le 18/04/2024

Surface recherchée : Surface non renseignée
Installation souhaitée : Individuelle
Maison d'habitation : Souhaité
Bâtiments agricoles : Souhaité
Souhaite s'installer en bio : Oui
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Production principale

Autres petites cultures (PPAM, petits fruits) Apiculture

Production secondaires et envisageables

Non renseigné

Description du terrain recherché

Bonjour,
Je suis à la recherche d'un terrain d'environ 2 hectares, avec l'accès à l'eau idéalement, sur un terrain type prairie ou ayant déjà la certification bio. Idéalement avec une terre facile à travailler. L'objectif est aussi d'installer une petite serre qui ferait office de pépinière, un habitat pour lieu de transformation, et un séchoir.

Description du projet

En reconversion depuis 2022, j'ai une volonté de réaliser mon rêve depuis que je suis enfant : créer des mes propres mains des produits sains à base de plantes. Je me suis inscrite l'année suivante en BPREA pour avoir des compétences dans le domaine agricole et concrétiser mon projet sur le plan financier (réalisation d'un prévisionnel).
Je souhaite mettre en place une culture de plantes aromatiques et médicinales dans le but de les transformer en tant que produits cosmétiques et alimentaires. Mon entreprise a vocation à proposer des produits sains, avec le minimum d'ingrédients, et le plus local possible pour tout public. J'ai déjà une gamme envisagée de produits à décliner et des créneaux de commercialisation :
- des savons issus de la saponification à froid pour préservation des principes actifs,
- des huiles de massages et des baumes pour répondre à des besoins (enquête réalisée sur une centaine de personnes),
- des hydrolats et des tisanes en complément pour avoir un panel plus large de produits qui s'ajoutent à mes gammes.
Mon projet se construit en deux temps, la première phase concerne l'implantation (la plupart des cultures nécessitent un an avant la récolte après plantation) des plants avec construction des zones élémentaires (pépinière, séchoir etc), la deuxième phase concerne la transformation pour valorisation des produits.
Idéalement, j'aimerai commencer en janvier 2024 (le temps de faire la partie administrative et valider la partie financière).

Expérience du porteur de projet

Avril 2022 : stage chez un maraîcher diversifié en agriculture biologique (6ième année du projet DJA)
Avril 2022 : stage chez un jardinier paysagiste pour sensibiliser les écoles sur les plantes (3ième année du projet test Terracoopa)
Juin 2022 : stage chez une productrice de plantes aromatiques et médicinales pour confectionner des bouquets et tisanes (2ième année du projet test Terracoopa)
Octobre 2023 : stage chez une productrice de plantes aromatiques et médicinales (2ième année du projet, DJA) : tisanes et sirops
Novembre 2023 : stage chez une productrice de plantes aromatiques et médicinales (hydrolats, huiles essentielles) (10 mème année du projet, pas de DJA)
Mars 2023 : stage chez une pépiniériste/jardinière paysagiste (3ième année du projet)
Avril-Mai-Juin 2023 : stages chez des producteurs de Ppam, pour transformation cosmétiques et alimentaires (20 ième année du projet)

A propos du porteur de projet

Originaire de la normandie et fille/petite fille d'agriculteurs du côté paternel (papa éleveur de vaches laitières), je suis arrivée dans le sud avec mon ancien travail et depuis, je ne quitte plus la région. Mon travail se portait déjà sur la santé et les enjeux environnementaux mais à l'échelle industrielle. Aujourd'hui je souhaite avoir un travail qui a encore plus de sens et qui oeuvre pour le vivant.
Je peux parler des mes bagages "scolaires" qui me servent aujourd'hui à concrétiser mon projet (dut de chimie, ingénieur en risques industriels et environnementaux, Bprea en maraîchage bio, Ppam et apiculture).
J'adore les plantes méditerranéennes c'est pour cette raison que je souhaite rester ici.
Je suis aussi lucide sur le réchauffement climatique, je vais devoir m'adapter aux conditions, cela va me permettre de tester aussi certaines plantes qui seront plus aptes aux vagues de sécheresse.

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