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Référence : 7720
Publié le 05/08/2024
Puit petit débit à proximité des bâtiments
maison 200 m2 dans le village ( à 500 m des bâtiments), à vendre avec l'exploitation ou pas suivant souhait du repreneur
Type de cession : non précisé
batiments groupés sur un site à 150 m du village : - un ancien poulailler(1000 m2)pour stockage chanvre et stockage matériel, - un hangar à matériel fermé, sans poteaux (320 m2) avec du photovoltaïque (36 KW) - un ancien frigo à PDT ( 144 m2, 700 m3) - un hangar à paille et stockage paille de chanvre (260 m2) - stockage céréales : 3 cellules avec cônes ventilés + 3 cases ventilés. Capacités tot 230 T - installation de triage céréales en copropriété avec un collègue bio partenaire à 7 km
68.60 ha dont 62.26 ha de terres arables, 5.04 de prairies et 1.30 ha de parcours poulets.
Parcellaire groupé : toutes les parcelles sont à moins de 1.7 km de la ferme et 55..30 ha sont regroupés dans trois îlots contigus.
Bonnes terres de Champagne crayeuse, fertiles et assez faciles à travailler.
12 ha sont plantés en agroforesterie (lignes tous les 30 m)
Nous souhaitons transmettre notre exploitation dans trois ans à un ou plusieurs associés.
Nous voulons que l'exploitation reste en bio.
Nous espérons que le ou les repreneurs maintiendront l'élevage.
Le ou les repreneurs auront la possibilité de s'appuyer sur des collègues proches, notamment en bio, pour :
- avoir des conseils techniques,
- partager du matériel au sein des deux CUMA dans lesquelles l'exploitation est adhérente,
- mener des chantiers en commun( récolte chanvre, moisson, semis,...)
Après avoir été conseiller agricole pendant 10 ans, je suis installé depuis 30 ans sur la ferme familiale en polyculture volailles.
Ma femme Isabelle a été associée pendant 9 ans avec la responsabilité d'un élevage de lapins.
La conversion bio a débuté en 2002 et s'est achevé en 2018.
Depuis toujours, j'ai développé le matériel et le travail en commun, au sein de CUMA, afin d'améliorer l'efficacité des chantiers, de sécuriser le système en cas de problème de santé et de limiter les charges de mécanisation.
Un salarié à temps partiel était présent jusqu'en 2016. Aujourd'hui retraité, il est embauché régulièrement pour assurer les soins et la surveillance de l'élevage pendant nos vacances et absences.