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Référence : 8665
Publié le 25/10/2024
Je suis à la recherche de plusieurs associé.e.s pour reprendre une activité maraichère et horticole, pour prendre part à mon atelier de semences paysannes et/ou pour créer d’autres ateliers (arboriculture, petit élevage…). Le type d’association sera à établir ensemble et si possible via l’accompagnement d’une structure spécialisée . Une chose me paraît importante, je n’envisage pas mon activité agricole déconnectée de certaines valeurs qui me semble nécessaire de partager pour pouvoir construire un projet agricole collectif viable. En voici quelques unes : agriculture paysanne et biologique, accueil de la vie sauvage, circuit court, partage des responsabilités, autonomie de la ferme (paillage foin, atelier mécanique…), autogestion des associé.es... J’aimerais également que cette ferme puisse devenir un lieu de partage, de rencontres et d’activités autres qu’agricoles (sociales, artisanales, culturelles…). Un collectif culturel voisin est déjà en place, des liens peuvent être tissés.
La ferme que je souhaite investir en collectif se compose de 15 ha de SAU et 5 Ha de prairies, haies, bosquets. Les terres sont sablo-limoneuses. Tout est irrigable via l'ASA . Le travail effectué est mécanique, manuel et en traction animale.
A ce jour, il existe un GFA et un GAEC composé de mes deux parents maraicher.es et horticulteur.ices en fleurs coupées (7000 m2 dont une pépinière sous abri, 2 Ha plein champ). Iels peuvent partir à la retraite mais souhaiteraient transmettre leur activité, avec de très bons débouchés en vente direct, la ferme étant située dans un cadre bucolique à deux pas de la ville.
Pour ma part je loue une partie de la SAU pour une activité de semences potagères et florales sur 2 ha de plein champ. Une autre personne à une activité de maraichage Fortier sur 3000 m2.
Les bâtiments agricoles historiques (étables et écuries) sont assez peu fonctionnels mais cela dépend du type d’activité agricole envisagé, qui nécessiterait éventuellement la construction d’un bâtiment agricole. Il y a quelques possibilités pour vivre en « habitats légers » sur place et des locations sont possibles à proximité, aussi les anciens bâtiments agricoles pourraient être transformés en habitation.
A moyen-long terme, en concertation avec le GFA actuel la propriété pourrait être partagée entre les membres installé.es ou cédée à un fond de dotation.
Si cette annonce vous parle, si vous avez des questions en suspens, si vous voulez passer à la ferme, n'hésitez pas !